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| Charlie ✖ Oui je suis folle. Parce que sinon je serais dépressive. | |
| Auteur | Message |
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Dîtes bonjour à Charlie McKagan
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+ ARRIVÉE : 28/09/2013
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| Sujet: Charlie ✖ Oui je suis folle. Parce que sinon je serais dépressive. Sam 28 Sep - 13:08 | |
| Charlie McKagan
24 ans ◭ Bangor ◭ Embaumeuse ◭ Simetierre ◭ Masha Sedgwick
| habites-tu depuis longtemps à Derry ? que penses-tu de son atmosphère et de ses habitants? Derry n'est pas ma ville natale, mais c'est tout comme. C'est le berceau de ma vie, et je ne la quitterais pour rien au monde. Bien sûr que si elle me fait peur. Bien sûr que ses habitants m'agacent autant que les autres humains, et peut-être d'avantage. Mais c'est exactement ce qui me plait ici. J'aime me sentir en équilibre sur une corde, et ce, sans effort. Ici, je ressens. je sors de mon anesthésie.
que penses-tu des événements surnaturels qui se passent à derry? est ce que tu y crois ? Je n'y crois pas je le sais. Il serait d'une stupidité sans nom de renier des faits établis et vécus qui plus est. Je pense que c'est un juste retour des choses. Qu'ici au moins, l'homme n'échappe pas à la sélection naturelle. Je ne sais pas si je ferais partie des survivants, et au final je m'en moque bien pour l'instant. Vous vous imaginez mariés et parents peut-être. Moi pas. Moi, je ne sais pas. Alors peu importe au fond.
que disent les autres habitants de toi ? Là-dessus, il y a quatre types de personnes à Derry. Ceux qui ignorent mon existence, ceux qui me prenne pour une maniaco-dépressive, ceux qui voit en moi la gentille embaumeuse qui les soutiens à chaque décès ou l'aimable cliente qui vient acheter "un cappuccino vanille, et un cookie chocolat, s'il vous plait!" tous les matins, et ceux qui savent qui je suis, et qui m'aiment bien malgré le risque que cela encourt. Risque qui est seulement que je les envois bouler s'ils m'agacent un peu trop. N'ayez pas peur. |
Your turn
| Pseudo/Prénom Charlie . Age 20 ans. Connexion He, he, les week end jusqu'au vacances et plus souvent à partir de début novembre. Comment as-tu connu le forum ? Bazzart. Un petit mot ? Oui, je me suis inscrite plus ou moins sur un coup de tête. Je connais le fow' depuis un bout de temps, et là je me suis inscrite sans capter tout de suite que je suis overbookée avec la fac xD. Alors je fais essayer de faire ma fiche ce week end, mais si je ne l'ai pas finie là, je ne pourrais la finir que le week end prochain donc. Voilà, voilà. ^^ |
Dernière édition par Charlie McKagan le Sam 28 Sep - 16:10, édité 3 fois |
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| Sujet: Re: Charlie ✖ Oui je suis folle. Parce que sinon je serais dépressive. Sam 28 Sep - 13:08 | |
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This is a true story
"He, he, Charlie! Et toi dis? Tu as peur du noir?" - Non. Pour quoi faire? Ma réponse fut sans appelle, et laissa sans voix mes petits camarades de classes, qui à 7 ans, eux, ne comprenaient une telle réponse. Non, je n'avais pas peur du noir. Je ne croyais plus au Père Noël, ni à ce genre de trucs non plus, si jamais j'y avais cru un jour. Sauf peut-être en Dieu, à un moment donné, et puis peu m'importais son existence au final. Je n'avais pas besoin de lui moi, et vu au combien il aidait ce qui en avait besoin c'était mieux comme ça. Je n'avais besoin de rien, non. Mes parents n'étaient pas immensément riches, mais gagnaient suffisamment bien leur vie pour pouvoir élever une seule gamine. Même si c'était moi. Ils avaient plus besoin de bons nerfs que d'argent. Je ne faisais rien plus jeune. Vraiment rien. Je flottais entre deux mondes, le "réel" et celui que j'avais dans ma tête infiniment plus palpitant qu'aller à l'école, jouer à la poupée, à la marelle ou je ne sais qu'elle autre absurdité. J'aurais tellement voulue être stupide, ne pas voir, ne pas comprendre. Mais c'était totalement l'inverse. Je comprenais dans le moindre regard de mes parents qu'il y avait une tension, et qu'ils ne voulaient que sauver les apparences. Je voyais bien l'hésitation, peur ou moquerie dans les yeux des rares gamins qui m'approchaient. Mais je m'en foutais. Parce que je savais pertinemment que c'était la greluche à couette et robe à froufrous qui se ferait violée plus grande. Pas moi. Qu'ils s'amusent tant qu'ils le pouvaient ces pauvres gamins. Moi je n'attendais qu'une chose. Etre grande pour me barrer, et faire autre chose de cette misérable existence, calibrée le jour même de ma conception, parce que j'étais dans le bide d'une américaine de classe moyenne, et que c'est précisément cette classe-là qui n'a pas trop le choix. Je n'avais pas d'autre rêve que celui de partir un jour, que quelque chose change un jour, sinon... ... Sinon la prochaine fois, je trancherais plus profond. J'avais 16 ans, et rien ne changeait. Toujours cette insupportable routine, toujours ce même but d'avoir des bonnes notes. Mais pourquoi faire? Certains savaient peut-être, moi non. Je n'aspirais pas à aller bosser chaque jour, faisant éternellement la même chose, et je n'aspirais pas non plus à être une pauvre mère au foyer, dépendante de son imbécile de mari. Et non, je ne pouvais pas devenir astrophysicienne ou neurochirurgienne, parce que si j'étais supérieurement intelligente à la normale, c'était sur un plan purement pratique, psychologique, éthologique et philosophique. Qualité absolument inutile et destructrice. Quand tu sais que parce que tu ne sais pas quoi faire de ta vie, tu ne seras rien, et que tu ne vois pas plus loin que le lendemain, mis à art crever, tu ne vois pas trop quoi faire. Mais non, parce que tu as une famille qui t'aime quand même. Et puis y a pas à dire, tu aimes te rouler dans ta propre existence stagnant dans l'eau croupie dans laquelle ont pissées les générations précédent la tienne. Tout le monde sait que l'humanité irait mieux en se séparant de la sur-bouffe, sur-technologie et sur-confort. Mais ça c'est comme la vie. Quand tu y as goûté, tu ne sais plus trop comment faire autrement. Et puis enfin l'âge de gloire. 18 ans. Majeure et vaccinée. Enfin, j'arrêtai de me trancher les bras, et trouvai d'autre source de... ressenti. Parce que mise à part la douleur, je ne ressentais pas grand-chose. Cela faisait déjà 3 ans que je vivais à Derry. Mais je n'avais encore jamais rien remarqué. J'étais trop dans mon monde pour remarquer quoique ce soit. Trop déconnectée. Mais la majorité m'ouvrit de nouveaux horizons qui me remirent un pied dans le monde "réel". Bars, boîtes, tatouages, raves, alcool, Marie-Jeanne et ses copines plus costaudes... premier pas. C'est en soirée qu'une fille complétement droguée nous raconta son expérience. Une histoire de meurtre, de clown. De là partirent toutes les autres rumeurs qui se connaissaient plus ou moins, et qui m'étaient toutes passées au-dessus de la tête. Surtout une qui attira mon attention comme jamais rien ne l'avait fait, et réveilla quelque chose, un fond de mon ventre, que je n'avais jamais connu. Une histoire d'Hôtel. Non, ce ne fut pas l'histoire du mec qui tua tout sa famille qui m'intrigua. C'est fort triste à dire, mais c'était loin d'être le seul, et par rapport à toutes les rumeurs ressorties ce soir-là, j'avais tendance à classer cet événement dans le "normal". Si je puis m'exprimer ainsi. C'était tout le reste autour qui me semblait fort intéressant. Aussi, je décidai d'aller y passer une nuit, histoire de voir si. Les rares personnes à qui j'ai soumis l'idée sont devenues blanches comme des linges et au final, c'est cette réaction quasi unanime des gens ayant entendu les ont dit qui me convainc d'y aller. Oui, si tout le monde avait trouvé l'idée trop cooool, et bien le truc aurait perdu tout son charme et cette vague étrange crampe au fond de mon ventre qui ne me rappelait rien de connu. - Spoiler:
Donc j’y allai. Seule. Au final, le seul mec qui avait envisagé de m’accompagner avait fait demi-tour à l’entrée du Motel Derry. Personnellement, mon esprit rationnel trouvait son attitude puérile, et les vagues de contraction qui me traversaient les avant-bras au fur et à mesure que je m’avançais vers l’entrée me décidèrent d’avantage. J’avais l’impression de découvrir un niveau truc en moi-même à chaque pas en avant. Et je passai la porte, après m’être retournée pour faire un signe à celui qui m’avait lâché. Il avait déjà disparu. Je décidai après une petite moue que celui-là, il irait désormais se pendre. Je rentrai dans ma chambre, lançai les clefs sur le guéridon à côté de la porte. J’attendis. Quoi ? Je ne savais pas. J’allai jeter un coup d’œil par la fenêtre. Oui, au pire je pourrais toujours sauter. Deuxième étage, bitume en-dessous, c’était relativement tranquille. Mais sauter pour fuir quoi ? La bonne blague. Je me laissai tomber sur le lit sans prendre la peine d’enlever mes godasses. Bon. Et maintenant. Le téléphone de la chambre sonna, et je décrochai nonchalamment. – Oui ? Rien. Je répétai. Toujours rien. – Ouuuuhh…. Gros frisson… Je raccrochai, un peu blasée. Mon Dieu que c’est effrayant les coups de téléphone sans personne au bout du fils dans un hôtel réputé hanté. Terrifiant terrifiant. Le téléphone sonna une deuxième fois. Exaspérée, je décrochais et répondis d’une voix légèrement plus agressive. « Un gros frisson pour la sorcière ». Cette fois, je restai sans voix. La personne au bout du fil, si toutefois il y en avait une, raccrocha. Je raccrochai lentement à mon tour. Ok, sorcière était un « surnom » commun, n’empêche qu’il avait été longtemps le mien. Et surtout, j’aurais juré reconnaître la voix de Dylan O’connor, un sale môme avec moi en classe à l’époque. Je m’assise sur le bord du lit, et passai les mains sur mon visage. L’alarme du réveil se mise brusquement en route, et je lâchais un glapissement de surprise, et frappai violement dessus pour le faire taire. Je ris nerveusement. Ok. Bon, j’avais peut-être parlé un chouïa vite. A moins qu’il y ait un tordu dans le coin, ce qui n’était guère plus rassurant au final.
Je restai quelques minutes immobile. Je ne sais plus combien de temps, mais suffisamment longtemps pour que je finisse par croire que je m’étais montée le bourrichon toute seule pour cette histoire. Et peut-être que oui, il y avait un crétin qui s’amusait bien. Bref. A la douche. Je me dessapai et allai dans la salle de bain, d’une banalité sans nom au passage. Même pas de baignoire (en même temps, je n’avais pas vraiment mis le prix dans la chambre). Un pauvre bac à douche avec un rideau. Je rentrai dedans et commençais à me laver. Je sentis le rideau me toucher le dos, et me retournai en sursautant. Il était… un peu loi pour me toucher non. A moins qu’il y ait un courant d’air, chose qui m’étonnerait fort. Puis je distinguai une ombre derrière le rideau, et j’eus la nette impression que tous mes organes descendirent brusquement. Je restai figée, les lèvres pincées à blanc, et vis un point d’ombre foncer de plus en plus, jusqu’à prendre une forme de main, proche du rideau. Je lâchai le premier cri de terreur de ma vie, et ouvris brusquement le rideau, manquant de glisser sur le carrelage trempé. Je me rattrapai aux murs, rien. Je balayai la pièce de regard, affolée, et fermai l’eau avant de sortir. Les vieilles habitudes. Met avis que ce sont elles qui nous préserve de la folie. Je sortais de la salle de bain, me retenant de ne pas courir, un vague morceau de mn cerveau essayant de rationaliser la chose. Je passai devant le miroir où une tâche rouge attira mon regard, et vie la gamine à couette et à robe à froufrous, debout derrière moi, égorgée. Je criai à nouveau et me retournai d’un bon. Rien. Je me mis à gémir comme un petit animal, et me précipitais vers mes vêtements, m’habillant à toute allure, ne pensant qu’à sortir de là. Puis la lumière s’éteint. Un long gémissement sortit de ma gorge. J’étais figée, les muscles complétement contractés, j’avais l’impression même que mon cœur allait imploser en cherchant à s’enfouir au fond de lui-même. "He, he, Charlie! Et toi dis? Tu as peur du noir?" Je clignai des yeux et me mise à hurler. Les lumières se rallumèrent en claquant, et j’hurlai de plus belle, découvrant tous mes anciens camarades de classes ensanglantés, figés dans leur jeunesse, et armés jusqu’aux dents. C’est Dylan qui se jeta sur moi en premier, poignard brandit. Je le reconnu malgré ses orbites dépourvues d’yeux, et si je levai les bras, se fut plus pour le plus le voir que pour me protéger. Sa lame se planta dans mon avant-bras. J’hurlai uniquement de terreur, mon cerveau ayant zappé la douleur à ce stade-là. Mon regard tomba sur la fenêtre, et la pensée que j’avais eue à son sujet s’imposa à moi, avec toute son ironie. Je me précipitai vers elle, l’atrocité toujours agrippée à moi, qui réussit à dégager son couteau de mon bras, pour le brandir à nouveau. Mais nous avions percutés la fenêtre avant qu’il ne puisse l’abattre à nouveau.
Je percutai violemment le bitume en dessous de moi. Et restai un moment allongée, sonnée. Mais seule. Je me redressai doucement, gémissant de douleur cette fois, tenant mon « entaille » dans le bras de l’autre main. Je levai les yeux vers le Derry Motel, et vers ma chambre. La lampe c’était éteinte, la vitre était belle et bien brisée. Un calme de mort régnait comme si rien ne c’était produit. Je respirai lentement, prenant doucement conscience de ce que je venais de ressentir. Je souris doucement, et me mise à pouffer, avant de partir dans un éclat de rire, parfois hystérique. Je reculai vers la route, et leva mon majeur en direction du Derry Motel. Je me mise en route pour Derry, en slip t-shirt, ensanglantée et riant comme une folle.
Me demandez pas pourquoi je spoil... juste parce que j'ai envie. xDJe fus récupérée par un automobiliste, un habitant de Derry, qui rentrai tard du travail (enfin ça c'est ce qu'il dit), et emmenée à l'hôpital. Je pense que jamais à Derry, ils n’ont eu une fille dans mon état aussi joyeuse et sympathique. Quelque chose avait changé au fond de moi. J'avais compris ce qu'était la peur, mais aussi ce qu'était la joie. Et j'avais alors décidée de toujours rire et sourire, pour ne plus sombrer. Même si cela m'arrive encore parfois. Je sais que dans un coin de mon dossier médical, depuis cette nuit-là, il y a "maniaco-dépressive". Qu'ils appellent ça comme ils veulent. Il n'y a pas eu d'enquête car je n'ai pas porté plainte. Contre qui? Les enfants de mon école à Bangor qui avaient tous 18 ans à cette époque? Mes affaires me furent rendues par le Derry Motel, avec une étrange lettre d'excuse. Depuis cet "incident" je multiplie les activités de tout genre. Que ce soit danse ou krav maga (mes deux sports favoris), shopping et sorties, ou œuvres caritatives et services à la ville. Je me suis même créé un blog sur la mode tiens. Bref. Depuis je vis la vie à pleine dents, je ris presque tout le temps, car je sais l'âme profonde de cette ville, et que ici, demain n'est jamais certain. Cette menace est devenue à moteur pour moi. Parfois, il m'arrive d'aller mal, très mal. Mais je fais avec. Je me ressource dans cette ville. MA ville. Je suis d'ailleurs devenue embaumeuse. Pour me lier d'avantage à l'essence de Derry, comme pour être une sorte de lien entre tout. Humains et monstres. Mort et vivant. En tout cas depuis tout cela, je n'éteins plus jamais la lumière.
Dernière édition par Charlie McKagan le Dim 29 Sep - 13:01, édité 5 fois |
| | | Dîtes bonjour à Osiris G. Murray
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| Sujet: Re: Charlie ✖ Oui je suis folle. Parce que sinon je serais dépressive. Sam 28 Sep - 13:10 | |
| L'AVATAR, oh god, L'AVATAAAAAAAAAAAAAAR je veux un lien. d'ailleurs, si t'en as besoin d'un n'hésite-pas à mpotter. bienvenuuuuuuuuue, bonne chance pour ta fiche. |
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| Sujet: Re: Charlie ✖ Oui je suis folle. Parce que sinon je serais dépressive. Sam 28 Sep - 13:15 | |
| Bienvenuuuuuuuuuuue parmi nous Bonne chance pour ta fichounette et à la moindre question, n'hésite pas ! |
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| Sujet: Re: Charlie ✖ Oui je suis folle. Parce que sinon je serais dépressive. Sam 28 Sep - 13:25 | |
| Mouhaaaaaaaaa!!!!......... Obligé miss Cobain! Merci, merci toutes les deux! (et sur ce je retourne à mon embryologie, je repasse ce soir ^^) |
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| Sujet: Re: Charlie ✖ Oui je suis folle. Parce que sinon je serais dépressive. Dim 29 Sep - 10:17 | |
| Je crois que je te connais Masha est un bon choix, elle est bandante aussi Hellcome |
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| Sujet: Re: Charlie ✖ Oui je suis folle. Parce que sinon je serais dépressive. Dim 29 Sep - 10:36 | |
| xD je crois aussi Merci, merci |
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| Sujet: Re: Charlie ✖ Oui je suis folle. Parce que sinon je serais dépressive. Dim 29 Sep - 10:43 | |
| Comme quoi, on se retrouve par tout |
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| Sujet: Re: Charlie ✖ Oui je suis folle. Parce que sinon je serais dépressive. Dim 29 Sep - 11:04 | |
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| Sujet: Re: Charlie ✖ Oui je suis folle. Parce que sinon je serais dépressive. Dim 29 Sep - 12:12 | |
| bienvenue poupée |
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| Sujet: Re: Charlie ✖ Oui je suis folle. Parce que sinon je serais dépressive. Dim 29 Sep - 12:21 | |
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| Sujet: Re: Charlie ✖ Oui je suis folle. Parce que sinon je serais dépressive. Lun 30 Sep - 12:13 | |
| Moi je dis que tu peux être les deux Folle & Dépressive Bienvenue |
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| Sujet: Re: Charlie ✖ Oui je suis folle. Parce que sinon je serais dépressive. Lun 30 Sep - 19:13 | |
| Oh oui, oui je sais t'inquiète xD Merci! |
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| Sujet: Re: Charlie ✖ Oui je suis folle. Parce que sinon je serais dépressive. Dim 6 Oct - 10:12 | |
| Je te valide, je ne t'ai pas oubliée tu vois. BIENVENUUUUE |
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| Sujet: Re: Charlie ✖ Oui je suis folle. Parce que sinon je serais dépressive. | |
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